Mobilisation et retrouvailles pour la mise en beauté du site de la Comtesse avant l’hiver

Mobilisation et retrouvailles pour la mise en beauté du site de la Comtesse avant l’hiver

C’est accompagnés d’un magnifique soleil d’automne que nous nous sommes retrouvés, afin de soigner la Comtesse et la préparer pour l’hiver. Nettoyage des salles, rangement du Dôme, entretien et ponçage des deux terrasses, réfection d’une porte et nettoyage des salles voûtées étaient au menu de la trentaine de personnes, parents, veilleurs et amis rassemblés sur le site le temps d’un long week-end de partage.

La porte d’accès aux voûtes à été refaite, un muret de pierre mis en place afin d’éviter les infiltrations d’eau, et la grande salle, lavée et poncée, est prête à accueillir les visiteurs.

Merci à toutes et tous, d’être venu le temps d’une journée ou plus pour poncer, laver, clouer, nettoyer, et chanter avec Julie, Institutrice à l’École primaire Caminando et son violon. Un grand merci à Philippe, dont la présence discrète et vigilante nous a permis de préparer et mener à bien les travaux d’entretiens.

Caminando, l’école primaire qui s’inspire des peuples racines – Mouvement’Up, novembre 2020

En 2013, Muriel Fifils fondait l’école primaire laïque et mixte Caminando, dans le but de reconnecter les enfants à la nature. Aujourd’hui, l’école située au fin fond de la Drôme suscite les convoitises de nombreux parents, à tel point que certains déménagent pour y inscrire leurs enfants. La recette de ce succès ? « Faire en sorte que chaque journée passée à l’école soit aussi épanouissante que sensée pour l’élève. » Entretien avec Muriel Fifils, fondatrice de Caminando, une école primaire où les enfants font concrètement, et pas semblant.

Le magazine Mouvement’Up, qui a consacré son numéro d’automne au thème de l’entraide, a publié un entretien qui présente l’école Caminando, l’importance du vivre-ensemble et l’écoute. Merci à Geoffrey Chapelle pour son article sur l’école ! L’entretien est à retrouver sur le site du magazine.

Peut-on aller à l’école buissonnière ? — Ça m’intéresse, octobre 2020

Peut-on aller à l’école buissonnière ? — Ça m’intéresse, octobre 2020

Un immense jardin arboré au pied du Vercors avec, au bout, les champs, la rivière et la forêt : la cour de récréation de l’école Caminando (« chemin faisant », en espagnol), au château St-Ferréol, à Menglon, c’est la nature. « On suit les programmes de l’Éducation nationale en s’appuyant sur le vivant et le cycle des saisons. Tout est prétexte à apprendre le français, les maths et la coopération », souligne Muriel Fifils, qui a créée cette école privée en 2013.

En octobre, le dossier culture du magazine Ça m’intéresse présente l’école Caminando, sa démarche, ses rituels et ses particularités. Merci à Laurène Champalle pour son article élogieux !

Télécharger la double page.

Conférence avec Muriel Fifils à l’Institut Fontaine

Conférence avec Muriel Fifils à l’Institut Fontaine

Mercredi 16 septembre, de 18h30 à 20h30, la fondatrice et directrice de l’école Caminando (« la Nature pour école ») interviendra pour une conférence sur l’école en plein air. Ce webinaire est organisé par l’Institut Fontaine, et il reste des places !

Remettre du lien entre l’enfant et la nature

Muriel Fifils citée dans le magazine KAIZEN

Partout en France, de plus en plus d’enseignants défendent les vertus éducatives du plein air. Depuis 2013, Muriel Fifils développe un enseignement alternatif qui replace la nature au cœur de l’éducation.

Ici on fait tout pour de vrai. Ce sont des expériences qui forment à celles de demain. Quand on expérimente on voit les conséquences de nos actes.

Muriel Fifils, citée dans le magazine ELLE

L’école Caminando a pour singularité de s’appuyer sur la nature et le vivant tout en suivant les programmes officiels de l’Éducation Nationale. Une pédagogie coopérative où les enfants sont acteurs de leurs apprentissages, avancent à leurs rythmes et développent leurs talents.

10€ en présentiel, 5€ en webinaire (Gratuit pour les moins de 18 ans)
Place limitée, inscription obligatoire : lesinspiriales@institut-fontaine.fr

Comment se reconnecter au vivant ?

Comment se reconnecter au vivant ?

Les crises et les bouleversements ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, et expérimenter un autre chemin de vie.

Carl Gustav JUNG

Nous voilà confrontés à une déroutante période de l’histoire humaine. Après avoir exploré et « conquis » les moindres recoins de notre planète, jusqu’à rêver de conquête spatiale, nous avons retourné cette insatiable soif de conquête et de transformation de la matière, contre la nature et contre nous-mêmes, ouvrant une époque de violences et de déséquilibres majeurs.

Dans ce contexte, la crise sanitaire de la COVID 19 apparaît comme le symptôme, d’une « maladie » autrement plus grave, celle d’une déconnexion absolue des modernes que nous sommes, du vivant et de la nature. Comme si nous avions perdu la mémoire de nos origines, de notre histoire et de l’interdépendance de toutes choses.

Indiens kogis sur fond de montagnes

« Un peuple sans mémoire est un peuple mort », nous rappellent les indiens Kogis depuis leurs lointaines montagnes assaillies par les vagues destructrices du « progrès ». Comment alors nous reconnecter à nous-mêmes, à la nature, aux essentiels, comment garder le cap, et lequel ?

Dans un monde d’incertitude grandissante, comment continuer à aimer, à accueillir, à faire preuve d’empathie dans une société froide que délitent la peur et nos égos ? Comment oser encore et toujours la poésie joyeuse, qui seule délivre les âmes, comment nous consoler ensemble pour nourrir d’autres rêves, des rêves assez grands pour éviter qu’ils ne disparaissent, pour paraphraser Antoine de Saint Exupéry ? « El camino se hace al andar » (le chemin se fait en marchant) nous rappelait Antonio Machado.

Alors, que vous ayez envie de vivre une expérience de « reconnexion au vivant » sur le site d’immersion nature de la Comtesse, que l’aventure d’une nouvelle pédagogie vivante vous inspire, que le dialogue respectueux avec les peuples « racines » tels que les Kogis vous semble une évidence, rejoignons-nous afin de faire, ensemble, le choix du vivant !

Nuhé sur le site de la Comtesse